En France, le 13 novembre 2015, des combattants de l’État islamique ont tué 130 personnes dans des attaques coordonnées contre une salle de concert, des bars, des restaurants et un stade de football.
20 hommes ont été jugés dans le cadre de l’attentat le plus meurtrier en temps de paix en France. Salah Abdeslam, un franco-marocain de 32 ans, serait le seul membre survivant du groupe accusé des attaques après que d’autres membres se soient fait exploser ou aient été tués par la police.
Lors d’une cérémonie commémorant les attentats de novembre 2015 à Paris, une victime a déclaré qu’il était « important » d’assister au service commémoratif. « Ça nous aide à continuer à vivre », renchérit Danièle Klein de l’Association française des victimes du terrorisme (AFVT), sept ans après les attentats.
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